Etranges rencontres dans la forêt

C'était une journée ensoleillée et froide, aux environs de midi. Calissa avançait d'un pas ferme dans la forêt, elle souhaitait arriver jusqu'au prochain village avant la tombée de la nuit. Un bandit qu'elle avait arrangé lui avait indiqué qu'il se trouvait à 5 heures de marche. Il y avait, dans cette forêt, beaucoup de brigands mais ils n'étaient pas très dangereux le plus souvent.

Elle s'arrêta à côté d'une petite rivière gelée car elle avait faim. Elle s'assit sur un tronc d'arbre couvert de neige et sortit ses provisions. Tout à coup, un violent mal de tête lui traversa le crâne: ses temps-ci, ses pouvoirs ne cessaient d'augmenter, ce qui lui donnait d'horribles douleurs. Elle se concentra un peu, vida son esprit, s'exerca à un de ces pouvrois (sentir l'énergie des objets ou des êtres vivants) afin que la douleur s'en aille, et continua à manger.

Soudain, elle entendit un cri à quelques mètres, mais elle ne pouvait pas distinguer de quelle direction il venait. C'était plus un cri de surprise que d'effroi, mais la personne qui l'avait lancé semblait tout de meme apeuré.

-Il y a quelqu'un? cria-t-elle avec assurance, sa dague dans la main.

« Il va sans dire que l’heure est au pillage. », prononça une voix derrière la jeune elfe, « Chacun ne choisit pas quoi il mange, mais chacun choisit comment il se nourrit... »
Du haut de sa branche, Nathaniel admirait le spectacle que lui offrait la scène. Devant ses yeux rougis, à une piètre distance, une femme menue se débattait afin d’éloigner le brigand qui voulait la violer sauvagement.
« …et de quoi il se nourrit. »
En ne relâchant guère la scène des yeux, Nathaniel sauta du haut de son point de vue pour poser pied sur la neige en autant de bruit qu’un silence. Le regard immobile, il s’approcha à la gauche de l’elfe posément. Il se tenait là, à une distance de bras d’elle seulement, la démarche sereine, ne démontrant aucun sentiment de crainte.

Nathaniel bougea légèrement la tête sur le côté, évitant sans crainte une flèche qui lui frola ses cheveux long.

-"Je craint qu'il vous faudra changer de menu, messire." Dit Éria qui venait d'encocher une deuxième flèche. "Le prochaint coup je ne vous raterez pas!"

Éria avait pourtant viser par un angle mort lors de sa première attaque, et le pessonage avait éviter son attaque comme si de rien n'était. Elle savait bien que son adversaire était plus fort qu'elle, mais il n'était absolument pas question de le laisser tuer un noble elfe.

Nathaniel n'avat pas bouger, il n'avait même pas adresser un regard a Éria. Après quelques secondes, il fit un pas vers Calissa.

-"Stop, sinon je tire!" L'avertie Éria.

En un mouvement posé de la tête, Nathaniel replaça ses longs cheveux de jais. Sa bien trop longue étoffe rouge épousait délicatement le sol enneigé comme il se positionnait de dos à la menace, la tête par-dessus l’épaule, un petit sourire malicieux aux lèvres; malgré la distance qui séparait encore Éria de Nathaniel, celui-ci savait qu’elle pouvait voir la chaleur étouffante de ses yeux de braise.
« Si ce sont les bandits que vous recherchez, vous n’avez qu’à suivre les cris. » Ria-t-il.
Ses longs cheveux caressèrent encore une fois son dos comme il portait à nouveau son attention à la jeune elfe aux cheveux si semblables aux siens.
En un élan de galanteries, il cueilli la main de la si différente elfe et y déposa un doux baiser froid comme l'hiver; son regard de feu, provoquant de moquerie, s’adressait encore une fois à Éria.

Éria laissa tomber son arc et prit son épée longue. Elle coura et asénit un puissant coup dans son dos. Nathaniel se retourna et prit sa lame de sa main métalique. Éria fut surprit et Nathaniel en profita pour la désarmer. Quelle sote elle était! La voilà contre un ennemi plus fort qu'elle et elle était désarmer et en plus elle devait protégé une autre personne.

-"Pourquoi je sens malse combat. S'intérroga-t'elle. Je ressent la haine dans son coeur, mais sa fassons d'agir me pousse a l'attaquer, comme s'il voullait que mon couer se remoplise de haine a son tour. Il a du vivre une grande tritesse pour agir ainsi. Pauvre homme..."

Éria était en possition de faiblesse, mais son adversaire ne l'attaquait, et s'il aurait voulut la tuer, ce n'était pas les occasion qui lui avait manquer, mais que voullait-il la fin?

Calissa n'avait pas vraiment compris la "guerre" qui se passait entre Nathaniel et Eria. Elle accueillit le baiser de Nathaniel comme une simple galanterie, mais elle ne comprenait pas pourquoi il s'en donnait la peine.

Avant qu'elle puisse comprendre ce qui c'était passé, Eria se jeta sur son "sauveur", et lui-même la desarma. La jeune femme était dans une fâcheuse position. Meme Calissa, qui n'avait rien vu des tentatives meurtrières d'Eria, comprenait au premier coup d'oeil que Nathaniel était un homme plutôt puissant. Mais elle ne comprenait vraiment pas pourquoi ils se battaient.

Etrange...Bah, peut-être qu'ils sont de vieux ennemis. Dans ce cas-là, la femme est bien imprudente: il est nettement plus fort qu'elle, et bien différement. pensa-t-elle.

Eria et Nathaniel se trouvaient faca à face, elle était desarmée et mal en point. Calissa vit qu'Eria se demandait qu'attendait son adversaire. En réalité, Nathaniel avait observé Calissa, mais elle ne s'en était pas rendu compte. Finalement, Nathaniel détourna son regard de la jeune elfe et esquissa un pas vers Eria. Calissa, en agissant d'instinct, s'interposa entre eux. Elle comprit que le combat serait fatal, et elle entreprit d'user d'un peu de son charme avec Nathaniel. Elle regarda Eria, puis tourna vers Nathaniel. Elle lui dit, d'une voix neutre mais d'un regard chaleureux:

-Seigneur, vous m'avez aidée et traité avec une galanterie exemplaire. J'ignore pourquoi (elle sourit), mais je vous remercie. (Elle regarda Eria et dit à Nathaniel:) Ne m'obligez pas à baisser l'estime et le respect que j'ai pour vous. (Elle s'agenouille, consciente qu'elle prenait un énorme risque) Vous nous battrez les deux avant de l'atteindre.

Son visage était sérieux, d'ailleurs elle n'avait pas peur (elle aurait dû), elle sentait qu'elle y arriverait. En tout cas, ce ne serait pas aujourd'hui qu'elle mourrait. Son visage grave était éclatant de beauté, ses joues étaient légèrement roses et ses yeux étaient hésitants.

« Que se passe-t-il, Esmellal? », déclara Nathaniel, remarquant par l’ouverture de la cape le blason de cette divinité, « Je ne lui veux aucun mal, mais dites-moi, suis-je de quelconque offense pour vous; cette jeune elfe semble ne point me détester. »
Nathaniel approcha sa main armée du menton de l’elfe qui était devant lui, genoux contre le sol gelé. Ses longues griffes de fer, comme il soulevait encore plus le visage de la douce, entaillèrent en une simple petite entaille le dessous de sa mâchoire inférieure, une goutte de sang perlant le long de son cou raffiné.
« J’ignore ce que vous me voulez, car en cette noble intention que j’eus avant votre arrivé est toujours à continuer. »
Il cueillit à nouveau la main de la jeune elfe mais cette fois de sa main acérée et la souleva délicatement afin qu’elle repose à sa gauche et puisse faire face, elle aussi, à la pointe de la flèche d’Éria.

Calissa avait suivi Nathaniel pour plus de sureté. Elle ne se plaignit pas de la petite coupure que cet étrange homme lui fit, elle recueiillit le peu de sang qui coulait avec sa main et se plaça à coté de lui. Elle n'avait pas compris tout ce que Nathaniel avait dit à Eria, elle était trop préocupée par le sort de l'elfe qui cherchait à la défendre.

"Il n'y a rien à craindre, pensa-t-elle, cet homme ne nous fera rien. Je m'y opposerais...

Calissa était debout à gauche de Nathaniel. Elle tremblait, non pas de peur, mais de froid. Ses jambes et son buste étaient mouillés à cause de la neige. Elle regarda Eria qui, elle, fixait Nathaniel. Lorsqu'elle la regarda, enfin, Calissa fit un imperciptible moucement de la tête vers Eria. Calissa pensa que, peut-être, cette femme pouvait lire dans les pensées?

"Lâche ton arme, nous n'avons rien à craindre. Mieux vaut le laisser tranquille pour le critiquer plus tard, si c'est ce que tu désires, mais il ne me fera rien, j'en suis certaine. Il n'est plus la peine de me défendre" pensa-t-elle.

Eria sembla avoir compris quelque chose, mais elle ne fit rien. Elle continuait à la regarder.

Bon, apparemment, non. Tentons autre chose... se dit Calissa.

Elle essayait de lui faire comprendre, avec des geste de la main, de laisser tomber son honneur et de lui préferer la vie.

Que faire, a cause d'elle maintenant Nathaniel avait toutes les cartes en mains pour la vaincre.

-"Se n'est pas suffisant pour elle que je soit désarmé, elle doit se laisser prendre en otage." Critiqua Éria pour elle même.

Éria ne savait pas pourquoi, mais elle sentait que l'homme suait le mal, sa respiration était froid, et ses geste dénué de vie, comme s'il n'en avait plus.

-"Très bien, j'accepte de laisser tomber, mais à une condition. Laisser la partir et je partirait une fois que je ne la sentirait plus dans la région. Ceci vous semlbe-t.il acceptable?"

Éria devait absolument réussire a sauver l'elfe, au moni elle aura regagner son honneur dans la mort.

-"Alors?"

Devant la menace absente que représentait la disciple d’Esmellal à ce moment, Nathaniel pouvait bien s’offrir la joie que symbolisait la pitance et le ridicule d’Éria. En un mouvement fluide, il désunit les pans de sa longue étoffe rouge et la déposa courtoisement sur les épaules frêles et tremblotantes de l’elfe derrière lui.
En agrippant la poigne de l’épée longue d’Éria qui, à ce moment, reposait enfoncée dans la neige blanche et lui tendit, le regard exaspéré autant que moqueur.
En lui tendant sa lame, poigne première, il lui adressa un vilain et sourire et lui souffla en soupirant:
« Non. »

Éria attrapa lentement le pomeau avant de pratiquer habilement un jeu de poignet. Nathaniel voulut l'éviter, mais Éria entailla son bras organique. L'entaille ne saigna même pas, et pourtant son coup avait pénétré suffisament sa chair pour couper une veine.

-"Mais qui diable êtes vous?" Voulut demander Éria, mais elle se ravisa, récomposant sa question.

-"Mais que diable êtes-vous?

Les yeux de Nathaniel s'avivèrent sous l'effet de la douleur toujours aussi absente. En un unique mouvement agile et rapide, il la désarma à nouveau, ses griffes de fer s'enfonçant dans la chair ferme du poignet de l'archère puis, comme s'il s'agissait d'une simple corégraphie pour lui, Nathaniel agrippa de sa main sans armure la gorge exposé de cette dernière. L'homme tourna la tête vers la jeune elfe et posa un soupir.
" J'aurais bien voulu ne pas avoir à faire cela..." Prononça-t-il tout en se délectant des gémissements de douleurs ainsi que la parfaite immobilité de la forestière.
Il leva le poing, serra ses doigts recouvert d'armature métaliques et élança son bras en direction du visage délicat de sa prise. La disciple du trône d'Esmella s'affaissa sur le sol glacé, inconsciente pour seulement temporairement.
" Espérons qu'à son réveil, elle soit un peu plus docile. " Ria-t-il chaleursement.
Il jeta un oeil à son bras et méprisa plutôt l'entaille dans son habit que dans sa chair.
" D'ici là, auriez-vous l'aimabilité, chère dame, de me trouver quelconque pensement et moyen d'allumer un feu? Pour ma part, je préparerai l'emplacement de notre brasier. " Continua-t-il, le sourire aux lèvres.
" Diantre, pardonnez mon empressement, je me nomme Nathaniel de Maupassant. Pourrai-je accompagner votre présence en cette quelque peu froide après-midi? "

Calissa regardait, horrifiée, cette homme, ou plutot cet chose, battre son amie avec tant de plaisir.

Elle le regarda, ses yeux jetant des éclairs, et lui dit:

-Etes-vous fou? Croyez-vous que je puisse accepter la compagnie d'un être comme vous? Je vous ai demandé de ne rien lui faire, pourquoi vous-battez vous? Pourquoi se bat-elle? Je ne lui avait rien demandé pourtant! D'ailleurs, pourquoi tenez-vous à me garder?

Sa dernière phrase fut marquée par le geste qu'elle fit pour jeter l'étoffe rouge de Nathaniel. Elle tomba par terre, dans la neige. Calissa s'eloigna et s'agenouilla auprès d'Eria, regardant son état.

Qu'ai-je fait? Mon dieu, pourquoi s'est-elle mit entre nous? J'aurai pu m'en sortir... Reveillez-vous, je vous en prie! pensait-elle, les yeux en larmes.

Le regard exaspéré, Nathaniel reprit sa longue cape et la remit sur ses épaules et, en un mouvement, repoussa la neige qui s'y étendait.
" Je vous assure qu'elle va bien, ma dame. De plus, ce sont ses manières austères qui ont fait que j'ai dû agir ainsi. Vous me voyez profondément désolé par ce que j'ai fait, mais voyez-y un acte de paix en soi; elle sera plus apte à discuter à son réveille qui ne saurait tarder. " Déclara-t-il, froidement.
Il déchira un des nombreux pans de sa cape et commença à ses panser la bras avec celui-ci.
" Pour ce qui est de ma présence et ce désir de vous accompagner, ", poursuivit-il, " voyez-y vous même les pas que vous avez fait dans ma direction, et non ceux que j'ai fait dans la votre. Mes intentions étaient sincère, je vous l'assure, laissez-moi racheter mes erreurs, je vous en prie. "
Il s'abaissant en un arc gracieux et, tout en se relevant, posa à nouveau sa cape sur les épaules de l'efle.
" N'ayez crainte, je ne vous veux aucun mal. Ni à vous, ni à elle. C'est pour la protèger d'elle-même que j'ai agit ainsi. " Soupira-t-il.

Calissa le regarda, abasourdie par tant d'excuses qu'elle jugeait ridicules..

"J'y crois pas... Il trouve le moyen de s'justifier! Il est vraiment étrange, mais il y a quelque chose en lui qui me fascine, qui m'attire..." pensa-t'elle en rougissant légèrement à cause de cette dernière pensée. "Il est bien prétentieux et hautain je trouve, mais peut-être que ce n'est que son apparence exterieure!"

-Rachetez-vous si vous le voulez, mais vos paroles n'ont aucun sens. Un acte de paix? Elle vous a proposé d'eviter le combat. Elle a simplement voulu me défendre. Vous, je l'avoue, m'avez bien aidé avec cet ivrogne, mais je n'ai jamais desiré tout cela.

Elle se tourna vers lui, et de son ton le plus blessant, pour essayer de lui montrer qu'elle ne souciait guère de lui, ce qui n'était pas le cas, elle lui dit:
-Je me suis offerte à vous. Je me suis soumise. J'ai, en quelque sort, trahi cette femme qui avait les plus nobles intentions en m'aidant. Croyez-vous que je l'aie fait par pure innocence et naïveté?

Elle le regarda et, du ton le plus blessant dont elle était capable pour lui montrer qu'elle ne se souciait guère de lui, ce qui n'était pas le cas, elle lui dit:

-Je voulais éviter le pire. Aider Eria. Certainement pas vous approuver!

Calissa sortit quelques feuilles de différentes plantes et commenca à les écraser sur une pierre enneigée. Elle était visiblement troublée, ses mouvements était quelque peu brusques, bien que son visage garde toute sa douceur et son calme.

Elle se tourna vers Nathaniel, et lui glissa avec un petit sourire cynique:

-Ne soyez pas hypocrite, mon cher Nathaniel. J''avoue que vous m'avez bien aidée en me débarassant de cet ivrogne, mais pourquoi? J'ignore vos intentions, aussi sincère soit-elles, mais je connais les miennes...

Elle étala sa mixture verte sur le bras meurtri d'Eria, avec une concentration évidente. Ses traits étaient doux mais ses yeux étaient plissés devant la blessure d'Eria. Ses mains se meuvaient très lentement, ce qui ajoutait à son charme. Elle avait usé de toute sa vivacité d'esprit pour essayer de déstabiliser son adversaire, c'était apparemment réussi, Nathaniel la regardait étonné et...?

" Mes désirs son miens et sont à moi seul de comprendre. " Déclara-t-il comme elle étalait le fruit de son travail sur le poignet meurtri de sa propre proie.
Il se résigna à nouveau, les liaisons avec les hommes étaient-elles toujours aussi impossibles pour lui? Il cueilla la main occupée de la jeune elfe de son labeur et souleva sa détentrice afin de lui porter un autre baiser glacé sur le revers de sa main. Par la suite, il retira délicatement sa cape des épaules cette jeunesse et la replaça habilement sur ses épaules.
" Si, un jour, vous désirez me retrouver, suivez les corbeaux " Dit-il en désignant les oiseaux noirs, perchés dans l'arbre où il était, quelques moments plus tôt.
" Mais rendez-moi un service, ", poursuivit-il, " Si cette archère décide un jour de venir à ma rencontre de manière austère, résignez la, car cette fois, vous ne serait pas là pour retenir mes instincts. "
Il retira son arc de son épaule gauche en bandouillère puis encocha une flèche, le regard dans la forêt vide.
En un sifflement, sa flèche osseuse pénétra la gorge du bandit qui tentait toujours désespérement de violer la femme avec une précision mortelle.
" Vous voyez? La mort ne me fait aucunement peur. Ni celle des bandits, ni la sienne; mais vous, vous me rappellez quelqu'un... " Dénota-t-il avant de, enfin, s'enfoncer dans la pleine forêt de l'autre côté de la rivière glacé, ses pas disparaissant derrière lui.

(Direction: La plaine glacée)

Se ne fut pas le temps qui réveilla Éria, mais la doulleur. D'elle qu'elle ouvrit les yeux, elle fut vite calmer, l'homme était parite.

-"C'est un sacré bagareur." Ricanna Éria.

Calissa lui reporcha cette attitude, après elle avait été blèsse deux fois a cause d'elle.

-"Voyons, vous ne me devez aucune dette, mais on dirait que le mal tourne toujours autour de vous, je crois que le mauvaise oeil vous suis!" Ria Éria.

Calissa ne riait pas elle, comment une elfe pouvait être aussi insousiante?

-"Écouter, il y a longtemps, lorsque que la reine d'Esmellal est tomber, j'ai juré de tout laisser tomber pour retrouver la meurtrier, et maintenant que je l'est fait, on dirait que le destin me pousser a vous protégé, comme si..."

Éria ne termina pas sa phrase, Calissa lui avait clairement dit qu'elle n'avait aucun liens de parenter avec la famille royale et elle ne tennait pas a recommencer a l'énerver.

-"Savez-vous ou il est partie, j'ai deux mots a lui dire?"

Calissa sembla ésiter a répondre, mais...

-"Qui a dit que je tennait a ma battre? Demanda Éria."Je veux simpement en savoir plus, une force comme sa, sa ne satrappe pas comme un rhume! Si je veux le retrouvr c'est que je ressent qu'il a quelque chose qui cloche, il n'est pas méchant, j'ai lut son coeur, et c'est la tritesse que j'y est ressenti. Comme il a réagit ainsi en vous voyant je cru qu'il allait.... et bien faire quelque chose."

Éria se releva, maladroite elle faï tomber a la renverse.

-"Je crois que nous sommes les seuls a pouvoir aider cette homme. Il ne faudrait pas que sa détresse lui fasse commetre un jeste irréparable. Je vous en suplit, dites moi ou il est aller."

Éria rammasa son arc, son épée et son carquois. Malheuresement la flèche quelle avait tiré cétait brisé. Son carquois commencait a se vidé, elle devrait commencer a en refaire. De toute facons elle n'en aurait pas besoins pourle moment.
-"Alors?"

Calissa sourit et avala un bout de chocolat lentement.

-Vous êtes tétue, hein? Mais bon, je crois que je n'ai pas le choix... Avant que vous le rencontriez, je tiens à vous mettre en garde: ne lui parlez pas avec insolence, je vous en prie! Même si j'ai, moi aussi, perçu que cet homme n'est pas si mauvais, il est capable du pire, n'oubliez pas que son coeur a souffert. Je ne pense pas qu'il se soucie guère des autres, en tout cas pas consciemment. Faites attention...

Calissa se leva et enleva le peu de neige qui était resté collé à sa jupe noire.

"J'aurais dû penser à la météo avant de mettre cette jupe! Je devrais me changer quand la nuit tombera, ou je vais geler!" pensa-t-elle.

Elle regarda Eria, et lui dit:

-Il est parti par là. Vers les plaines glacées. Au fait, excusez-moi de mon impolitesse! Voulez-vous du chocolat? Il est particulièrement bon!

Éria laissa vaguer son esrpit le plus loin qu'elle le pus, elle ressentit l'énergie de Nathaniel, mais aussi celle de quelqu'un d'autre. Avait-il des amis dans les plaines glacées? Éria se résigna a sa quête, elle ne pouvait rien faire si la conversation virait au cmbat, surtout contre Nathaniel. Et si son "ami" était aussi fort. voir lus que lui? Éria frissonna, elle n'avait aucune chance.

-"Je crois que je vais vous écouter, c'est pure folie, il n'est pas en état de mécouter. Pourquoi les choses tourne toujours ainsi pour moi? Je n'est pas de pouvoirs, je suis plutot faible a l'épée, je suis bonne a l'arc, mais je suis un elfe et il n'y a rien d'esseptionnel dans cela!" Dit Éria en fesant un caprise de pouvoirs." Vous êtes vous déjà demander comment nous nous sentons en fesant de la magie?"

Éria sautait toujours d'un sujet a l'autre, mais elle ne parlait jamais sans penser à ce qu'elle fait.

-"Pourquoi mes adversaires sont toujours plus fort que moi? Soupira-t'elle intérieurement.

-"Je ne sais pas si nous pouvons parler de "Magie" ou plutot de don, mais je suis capable de ressentir certaine chose, je ne lit pas les penser, mais les humeurs, comme la tritesse ou la joie, vienne seul a moi, je ne fait rien, elle se contente de me dire si la personne en avant de moi est triste, content, enragé..."

Éria regarda Calissa, puis se releva.

-"Nous ferions mieu de rentrer nous mettre au chaud. Je crois que cette discution pourrait se continuer au près d'un feu dans une taverne?" Demanda Éria dans un brin d'ironie.

Calissa sourit à Eria.

-Eh bien il me semble que c'est un pouvoir! Tout le monde ne peut pas faire cela, c'est vraiment incroyable! Et vous avez raison, partons d'ici ou je vais vraiment geler...

Calissa prit son sac et elles commencèrent à marcher.

Éria prit sa cape et recouvra Calissa. Après tout elles n'étaient que deux, elle n'avait pas besoin d'avoir peur que quelqu'un la reconnaisse.

-"Nous pourrions bien aller a l'auberge mais.....par ou devons nous aller? Je n'est pas fait attention." Demanda Éria.